Quelques mots sur Madame Palamari, directrice du Centre de Langue Française Lutèce

– Elle est diplômée de l’enseignement supérieur. Sorbonne Paris IV

– Elle s’est spécialisée en enseignement du français langue étrangère ( FLE ) à l’ Alliance Française de Paris.

– Elle a complété sa formation en enseignement précoce (enseignement aux enfants de bas âge) au CLA de Besançon. Elle a participé à plusieurs séminaires de pédagogie, de méthodologie et d’enseignement.

– En tant qu’enseignante, elle a plusieurs années d’ expérience professionnelle dans une grande école francophone d’Athènes, l’École des Ursulines.

– Depuis plusieurs années elle est partenaire de l’Institut Français d’Athènes. L’Institut Français d’Athènes fait appel à elle pour corriger des copies et passer des examens.

– Elle dirige le Centre de Langue Française Lutèce depuis 2000, en se consacrant totalement à ses élèves, sans perdre de vue les évolutions de l’enseignement du français en Grèce.

– Depuis 2009 elle est partenaire de l’ Institut Français d’ Athènes pour la diffusion de la langue et de la culture francophone en Grèce.

– S’appuyant sur sa longue expérience, les évolutions méthodologiques et techniques de l’enseignement, bien organisée, c’est avec soin et une grande responsabilité qu’elle se consacre à ses élèves. Pour elle, l’enseignement du français, n’est pas seulement transmission de savoir, mais aussi civilisation et communication

– Les enfants, les plus jeunes, font l’objet d’une attention particulière. Nombreux sont les paramètres qui sont pris en compte : l’âge, les spécificités de la langue maternelle et entre autres, les intérêts personnels de l’enfant. De sorte, l’expérience aidant, les enfants entrent d’eux-mêmes en contact avec la langue et la culture françaises.

– L’enseignement du français se fait comme il se doit et devient l’œuvre d’une vie. Preuve en est, les élèves du Centre de Langue Française Lutèce s’investissent, réussissent à tous les niveaux et obtiennent des prix.

Une amie française a écrit pour elle:

Je connais Adonia depuis longtemps et c’est avec plaisir que je peux dire quelques mots sur elle. Je ne suis pas la mieux placée pour parler de son établissement d’enseignement, toutefois, vu son caractère et son comportement, la réussite est forcément au rendez-vous. Ce qui se remarque d’emblée chez-elle c’est une certaine réserve, un soin sur tout ce qui l’entoure, une écoute et un grand respect de l’autre. Dès qu’on la connaît un peu mieux on trouve qu’elle a « de la suite dans ses idées » et une ténacité à toute épreuve pour mener à terme ses projets. Elle force le respect. Souvent en vacances en France, elle est à l’affût de ce qui se fait dans l’enseignement et profite avec plaisir du quotidien, tel qu’il est vécu par ici.

Je voudrais en profiter pour rajouter quelques mots sur la Grèce ou du moins telle qu’on la voit d’ici. On entend souvent dans les discours que la Grèce est le « berceau de la civilisation ». La Grèce est enseignée systématiquement à la première année du secondaire. Lorsque les Français parlent de leur culture ils la qualifient de gréco-romaine. Philosophes, politiques et sociologues ne ratent pas une occasion pour faire référence à la Grèce.

Adonia me dit qu’elle propose un enseignement du français, mais pour moi c’est bien plus, elle établit un pont entre les deux pays.

Marie MIEL